Sacrée Belle Mère! J’Aimerai Bien Que Les Travaux S’Éternisent

On a tous des reproches à faire à nos beaux parents, je suis bien placé pour le dire. Depuis bientôt deux semaines, mon beau père et Rose ( sa deuxième femme) se sont installés chez nous car ils font des travaux dans leur appartement. Depuis la veille de leur arrivé je n’ai même plus eu le droit de toucher à ma Nora car elle est trop mal à l’aise avec son père dans les parages.

Evidement je ne tiens pas aussi longtemps sans rien faire alors je profite de mes douches pour de temps en temps me vider et faire travailler ma prostate. Mon beau père a dû s’absenter et m’a demandé d’accompagner sa femme pour surveiller les ouvriers. J’avais des trucs à faire mais surtout je n’étais pas du tout motiver à m’emmerder avec ça.

Comme je suis quelqu’un sur qui on peut compter, je suis quand même allé rejoindre Rose dans leur appartement. Elle n’avait pas du tout besoin de moi pour gérer les ouvriers mais pas de la manière dont son mari le penser. En effet je l’ai surprise entrain de « s’occuper » des queues des ouvriers. Elle ne s’est pas contentée de les sucer, elle les a pris en elle et même les deux en même temps.

Je suis resté le plus discret possible et en même temps que je me caresser j’ai fait quelques photos avec mon téléphone. Une fois que j’ai vu ma belle mère recouverte de sperme, j’ai quitté discrètement l’appartement. Le soir je me suis fait engueuler par Nora par ce que je ne suis pas passé chez son père. Je ne pouvez quand même pas lui avouer que j’y suis allé et lui montrer la preuve de mon passage alors j’ai pris sur moi et rien dit.

Par contre quand je me suis retrouvé seul dans la cuisine avec Rose, je n’ai pas manqué de lui dire qu’en fait j’étais passé et en plus au bon moment. Pour être sûr qu’elle me comprenne bien je lui ai montré une des photos sur mon téléphone. Ca ne l’a pas mis plus mal à l’aise que ça! C’était même le contraire puisqu’avant que ma copine nous rejoigne, elle a tâter mon paquet et m’a fait de sérieuses avances.



Aucune raison de ne pas accepter ses avances alors ce matin, quand je me suis retrouvé seul avec Rose, j’ai profité de son corps, de son expertise et surtout de son côté très cochon. Nous venons de finir par une sodomie sous la douche et après que je me sois vidé dans son cul le spectacle n’était pas fini. Elle s’est contracté et à éjecter, devant mon regard pervers, tout mon jus qui remplissait ses entrailles.

Après s’être séché, je m’allonge sur mon lit conjugale, uniquement recouvert d’un peignoir. Rose vient me rejoindre dans la même tenue et commence à me raconter ses malheurs de couple qui l’ont mené à ces relations adultères. Elle me confie même que la première fois, elle a profiter de l’absence de Gérard, pour céder aux avances d’un éboueur qui était venu vendre des calendriers.

Elle m’explique que depuis son histoire avec l’éboueur, elle ne se prive plus de ce genre d’aventure. Que depuis elle a déroulé beaucoup de câble et que ça lui fait beaucoup de bien. Elle ajoute même qu’elle est consciente de trahir Gérard mais que sans ces moments elle l’aurait sûrement déjà quitté depuis longtemps.

Ensuite elle me parle des ouvriers, elle m’avoue qu’hier ce n’était pas la première fois qu’elle couchait avec eux. Elle me précise même:
« Ils ne comprennent pas très bien le français, ils travaillent lentement mais qu’est ce qu’ils baisent bien! »
Elle en profite pour me relancer sur les photos que j’ai pris et me demande encore une fois de les effacer.

Je fais mine d’hésiter et finis par lui dire que non, j’ai envie de les garder mais qu’elle ne s’inquiète pas Nora ne tombera jamais dessus.
« Tu sais, tu n’as pas besoin de ça pour être avec moi. J’ai adoré que tu me fasses l’amour alors on peut se revoir quand tu veux. »
Je lui réponds qu’en gardant les photos je pourrai vraiment l’admirer quand je veux et la rassure en lui disant que jamais je lui ferai du chantage. Elle me sourit, dépose ses lèvres, furtivement, sur les miennes et me dit que c’est tant mieux parce que ça ne marchera pas avec elle.


Ensuite elle me demande de les lui montrer en se justifiant par un:
« Je ne me suis jamais vu prendre du plaisir. »
J’att mon téléphone et je fais défiler, lentement, les photos une après l’autre. Je suis de plus en plus excité et j’espère qu’elle aussi mais pourquoi se suffire de clichés alors que j’ai l’originale à côté de moi.

Du coup je me tourne vers elle et lui demande:
« Tu aimes porter de la lingerie? »
Sans dire un mot elle quitte la chambre et revient quelques minutes plus tard. Le peignoir a disparu, à la place elle porte une guêpière noire assortie de jarretelles, avec des balconnets pigeonnants sans bretelles. Ses jambes sont enfermées dans des bas noires. Elle se tient dans l’embrasure de la porte dans une position très sexy qui dévoile bien son mont de Vénus.

Comme si ce n’était pas suffisant, elle commence à défiler devant moi en prenant soin de faire rouler ses fesses comme une salope. Après quelques allers retours elle reprend sa pose sexy de tout à l’heure et me demande:
« Ca te plait? »
Comme elle tout à l’heure je ne répond pas mais j’ouvre mon peignoir pour lui montrer mon érection.

Je ne lui laisse pas le temps de réagir et l’attire à moi, avant de coller mon corps contre le sien je retire complètement mon peignoir. Nous nous embrassons sauvagement pendant plusieurs minutes, nos mains parcourent le corps de l’autre. Rapidement la température monte dans la pièce mais pas que là. Avec une main je remonte lentement l’intérieur de sa cuisse, plus je m’approche du centre des son corps plus c’est l’humide.

Je fais passer mon index contre ses grandes lèvres qui sont déjà ouverte. Du bout du doigt je titille l’entrée de sa grotte et imprégné de son élixir je remonte vers son petit bouton. Quand je commence à le caresser, Rose se mord la lèvre et gémit encore plus fort. Emporté par cette élan, je maltraite encore plus son clito.

Je décolle nos lèvres et lui donne mon index à sucer.
Elle passe d’abord sa langue sur toute la longueur de mon doigt avant de l’avaler. Elle fait tournoyer sa langue tout autour avant de venir me lécher entre les doigts. Je suis tellement excité par ce que je vois que je retire violemment mon index de sa bouche. Je la fais grimper sur moi mais en 69.

Alors qu’elle commence à cajoler mon sexe avec ses doigts je me jète directement sur le sien. Je plaque mes lèvres contre les siennes et commence à aspirer son con pour récupère son nectar. Quand je relâche la pression, je sens sa langue lécher mon gland qui doit être bien gonflé. Ensuite elle l’attaque directement avec les dents, ça tombe bien ça m’excite au plus haut point.

Au moment où je sens sa bouche descendre sur mon frein je la pénètre avec ma langue en la faisant rentrer le plus profondément possible. Avec mon menton j’appuie sur son clito pour la faire un peu plus décollé. Beaucoup de femmes aiment le contacte de ma barbe avec leur intimité et c’est le cas de Rose.

Alors que sa bouche avale de plus en plus ma queue ses gémissements augmentent de volume. Elle fait coulisser ses lèvres le long de ma bite, assez lentement. A chaque aller retour elle m’enfonce un peu plus jusqu’à me faire visiter sa gorge. Ses mains s’occupent de mes couilles et descendent jusqu’à mes fesses. Ce qui me donne l’envie de m’occuper de son cul.

Je plante mon puce dans sa chatte et je la fais descendre pour me retrouver face à ses fesses. Avec ma main de libre je les écarte alors que je fais tournoyer mon gros doigt en elle. Quand je commence à lâcher sa rondelle elle recrache ma queue pour gueuler son plaisir. J’adore sentir ce petit trou bien serré s’ouvrir sous mes coups de langue. Il s’épanouie facilement du coup je commence à faire darder ma langue dans ses entrailles.

Au lieu de reprendre ma bite en bouche, elle me branle et part gober mes couilles l’une après l’autre. Elle les lèche, les aspire et les mordille même, je sens ma queue tressaillir entre ses doigts.
Je décolle ma bouche de ses fesses et la sodomise maintenant avec mon autre pouce. Je les fais rentrer et sortir de ses trous en décalé jusqu’à ce qu’elle se retourne vers moi et me dise:
« Ne m’ouvre pas trop je préfère que ta bite le face. »

Je retire mes pouces l’un après l’autre ce qui lui permet de revenir vers moi. Nous nous roulons une pelle d’enfer alors qu’elle remue son bassin pour placer mon gland à l’entrée de sa chatte. Elle me fait rentrer d’un coup sec et bien que sa langue soit dans ma bouche, je l’entends nettement gémir. J’empoigne chacune de ses fesses pour l’aider dans ses mouvements.

Rapidement ma belle mère se redresse, mes mains passent de son cul à ses gros seins lourds. Alors qu’elle me chevauche sauvagement, je pince tendrement ses tétons et l’admire se mordre la lèvre infirmière. Elle est comme au galop sur moi, elle se soulève tellement que plusieurs fois j’ai l’impression qu’elle va me faire sortir mais elle maitrise parfaitement sa technique.

Je la laisse me chevaucher en m’occupant de sa poitrine pendant un moment mais j’ai envie de prendre le dessus. J’abandonne ses seins pour ses hanches et je me plante le plus profondément possible en elle. J’entremêle nos jambes et je nous fais rouler sur le côté sans quitter sa moule. Une fois bien en position, je sors lentement de sa grotte pour me replanter d’un coup sec en elle dans un râle commun.

Je la lime à différents rythmes pendant un bon quart d’heure alors que ses mains et ses ongles ne cessent de passer de mon dos à mon cul. J’aime cette sensation de chaleur créer par les légères griffures de ma partenaire. Je profite de ce plaisir encore un moment avant de me retirer complètement. Je l’att et aussi facilement qu’avec de la pâte je la retourne sur le ventre.

J’écarte ses jambes pour me remettre entre elle et je plonge lentement dans sa grotte qui ressemble de plus en plus à une piscine. Je reste un moment planter en elle et j’embrasse son dos en remontant jusqu’à son cou. Je suis allongé sur elle et je lui lèche l’oreille alors que j’ondule mon corps pour faire bouger mon sexe dans le sien. Je sens qu’elle a la chaire de poule et je dois dire que je suis dans le même état qu’elle.

Je me redresse et sort de sa chatte, j’empoigne ma bite qui est luisante de ses sécrétions et la dépose entre ses fesses. Comme je ne lui ai pas beaucoup ouvert le cul je frotte longuement mon gland contre l’entrée de ses entrailles. J’écarte bien ses fesses pour lui permettre de s’ouvrir alors que je profiter des frottements de son bourrelet contre ma tige.

Je présente mon champignon contre son petit trou, je la sens déjà pousser pour me permettre de rentrer. J’appuie sur ma queue avec mes doigts et je vois lentement mon gland disparaitre entre ses fesses. Sa rondelle compresse bien chaque millimètre de ma peau. Je prends mon temps pour bien profiter du plaisir que me procure sa rondelle et ses entrailles serrées.

Plus je la possède plus Rose gémit. Quand je me dis que je suis entrain de sodomiser ma belle mère, je sens ma bite gonfler et déformer un peu plus son anneau. Elle pousse un petit cri mais je sens bien que c’est uniquement du plaisir. Je reste un moment planté au plus profond de son cul et je commence à la ramoner délicatement.

Je profite encore du moment où ses entrailles sont tout juste assez ouvertes pour m’accueillir mais me compresse encore bien. Ma bite est tellement lubrifier pas la mouille de ma belle mère, qu’elle n’a aucun problème à glisser tendrement dans son cul. Avec ma main j’appuie sur le bas de son dos pour qu’elle se cambre mais surtout car la sensation est encore meilleure.

Quand je sens qu’elle est assez ouverte, je la ramone ardemment mais pas trop longtemps pour ne pas jouir trop vite. Je décule totalement et referme ses jambes alors que je place les miennes autour. Avec mes mains j’écarte ses fesses pour bien positionner mon gland et je le fait rentrer lentement. Cette positon à l’avantage de refermer les entrailles de Rose ce qui me fait bien me sentir à l’étroit en elle.

Je m’enfonce tout aussi lentement que tout à l’heure mais je m’arrête quand je suis à moitié rentré. Je reste planté comme ça et je commence à lui masser le dos et les fesses. Ce n’est pas parce que je la pénètre que le contact de mes mains doit cesser. Je nous fait profiter un moment et alors que mes mains son sur ses flanc, je l’empoigne fermement et j’enfonce le reste de ma tige d’un coup sec. Elle crie de plaisir mais aussi de surprise.

Cette fois je ne lui laisse pas de repos et martèle tout de suite son cul ardemment. Ses cris de plaisir recouvrent mes gémissements, mais je ralentis quand même un peu le rythme. Je place mes mains sur le côté de ses fesses et les presses vers l’intérieur pour qu’elle me compresse encore plus en elle. Je la ramone lentement mais ma belle mère tourne la tête et tout en gémissant me dit:
« Défonces moi le cul comme tout à l’heure. Tu vas me faire jouir! »

Vous me connaissez je suis toujours prêt à faire plaisir à une dame dans ce genre de moment. Je presse encore plus mes mains et je la sodomise violemment. Mes allers retours dans ses entrailles si serrées sont tellement animal qu’on pourrait croire que j’ai été privé de sexe depuis des années. Je ne pense qu’à mon plaisir en labourant le cul de la seconde femme de mon beau père.

Vu comme elle couine, Rose prend autant son pied que moi surtout que je sens déjà des spasmes parcourir son corps mais aussi ses sphincters se contracter. Bien qu’elle a la tête enfoncée dans l’oreiller sur lequel dort sa belle fille, je l’entends gueuler comme une folle. Je suis aussi au bord de l’explosion alors je décule et l’entends crier:
« Noooooooooooonnnnnnnnnnnnn! »

Je décale mes mains et écarte ses fesses, avec mes pouces je tire bien autour de son petit trou qui est bien rouge et gonflé, sans aucun ajustement je la perfore d’un coup violent qu’elle accompagne d’un interminable:
« Ooooooooooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »
Non seulement je sens et vois son corps se cambrer dans tous les sens mais sa rondelle est pris de spasmes.

Je ne me contrôle plus, mes couilles se crispent, mes veines se gonflent et j’envoie une première giclée dans les entrailles de ma belle mère. Son cul me répond par une contraction qui déclenche un deuxième jet. Quand son trou se détend je continue à la ramoner ardemment et je pense que j’envoie encore 3 belles giclées.

Avant de trop ramollir je sors lentement pour encore profiter de ses parois qui me compriment. Quand le repli de mon gland tape la partie interne de sa rosette, j’entoure la base de ma bite avec mon pouce et mon index que je comprime bien. Je les fais descendre le long de ma tige à plusieurs reprises pour la remplir des dernières gouttes.

Une fois que je suis sûr d’être bien vidé, je retire mon gland d’un coup sec dans un grand blop. J’écarte ses jambes et vient m’installer entre elle, avec mes mains j’ouvre ses fesses et lui dit simplement:
« Pousse »
Elle s’exécute immédiatement, sa rondelle se contracte bien puis se détend. Des bulles sortent de ses entrailles puis elle se contracte de nouveau mais j’ai l’impression encore plus car sa rondelle semble totalement fermée.

Quand je vois le plis de son cul commencer à s’ouvrir, comme un petit crachat de sperme s’éjecte de ses fesses et vient s’écraser sur ma joue. Ma jouissance continue de couler de son cul et pour l’encourager, je tire la langue et commence à la lécher. Elle me demande d’arrêter, elle ne peut plus rien à ce niveau alors je continue simplement de l’admirer faire.

Après quelques autres poussées Rose arrête, elle est trop fatiguée pour continuer. Je remonte à côté d’elle pour la prendre dans mes bras et nous dormons une bonne heure complément nu, coller l’un à l’autre. Je me réveille le premier et la fait abandonner Morphée en l’embrassant tendrement. Quand elle se tourne je remarque qu’une grosse tâche décor le drap. Je lui dit qu’il faut les changer les draps avant le retour de sa belle fille, ma compagne, Nora.

Elle m’aide à les changer et alors que je vais démarrer une machine elle me dit qu’elle va s’habiller pour passer voir l’avancé des travaux dans leur appartement. Je regarde ma montre, il est que 14 heures. Gerard ne rentrera pas avant 22 heures et sa fille n’est jamais à la maison avant 18 heures.

Les bras toujours chargés des draps je vais vers la chambre de mes beaux parents quand je vois Rose enfiler une jupe. Je lui dis:
« Attends, je vais venir avec toi. Par contre tu retire ta robe et ton string et tu ne porteras qu’un manteau par dessus ta guêpière. »
Elle rougit et baisse la tête en retirant tout ce que je lui ai demandé, en plus elle le fait de façon provoque. Quelle cochonne cette belle mère…

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